Un étonnant langage architectural, couleurs à l’appui se trouve derrière cette réalisation qui est dit-on loin d’être hasardeuse. Le dialogue entre le vide et le plein, le visible et l’invisible, le choix de ce matériau, plusieurs questions qui trouvent leur réponse dans le résultat final. Une construction acidulée qui invite aux réactions…Pour plus de photos et d’informations, voir: ici.Le site des architectes: ici.
La photo: © Miguel de Guzmán
Pas mal! J’adore les volumes et les couleurs. Et puis je trouve ça totalement adapté à l’usage de centre pour les jeunes.
Ça va aussi avec les couleurs de ton blog 🙂
C’est clair!!!
Ouch !!!
J’ai du mal quand même !
Concernant la couleur? Il faut peut être voir les alentours et le rapport avec le reste, le positionnement de l’ouvrage comme un dialogue ou une rupture.
Non l’ensemble formel, pas particulièrement la couleur.
Il y a un côté comic strip américain flashy plein de BANG et de PAF que je n’apprécie guère. Ceci dit, c’est une histoire de goût, et j’admire le travail d’orfèvre.
En effet on est loin des travaux d’un Siza ou d’un Zumthor, ici cette manque de discrétion dont tu parles est voulue à priori…
Sans allez dans la maquette blanche, ça me fais plus penser à BEST ou à une architecture de centre commercial hypertrophiée. J’ai plus d’affinité pour un truc chouette et discret, c’est clair, même si j’aime la texture et la couleur.