Réhabiliter un musée existant, agrandir les espaces, remettre le tout aux normes du jour, respecter l’entourage architectural constitué principalement de briques rouges. Concevoir un nouveau volume qui s’insère dans ce lieu, considérer les courts délais et avoir un bâtiment à une personnalité unique, était le difficile conflit qui guettait ces architectes. Le résultat est une construction à couleur vive qui tout en faisant un clin d’œil à l’architecture industrielle de la région, s’affirme, par son originalité, les matériaux utilisés et son tempérament audacieux…Pour plus d’informations et de photos, voir: ici.
Le site de l’agence d’architecture: ici.
La photo: © Åke E:son Lindman
Je suis perplexe! peu convaincu pourtant la matière me plaît.
Je pense que ce genre de réhabilitation, on aime ou pas, il n’y a pas de juste milieu.
C’est assez surprenant à première vue, mais le résultat est plutôt réussi, avec un cahier des charges respecté.
Peut être la couleur est « trop vive » d’où nos réactions, avec le temps ça va s’estomper…
Ce n’est pas tellement la couleur qui me choque.
Ce que je déplore c’est l’inscription genre graffiti au bas de la façade.
J’y vois comme un clin d’oeil, et par là même une caution, à ces tags qui défigurent maints et maints édifices de nos villes et que l’on voudrait tant voir disparaître.
Pourtant certains donneraient cher pour les classer en « Arts ».